La représentation officielle de la France au salon SXSW : une première qui doit se réitérer

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Pour la première fois, une délégation française composée de dix start-up (Evergig, Meludia, Openclassroom, Metuilab, Whyd, Qobus, Azendoo, Bobler, Sounderbox, Djehouti) a participé début mars au salon SXSW (South by Southwest) à Austin (Etats-Unis). Festival majeur dédié à la création et au numérique, SXSW est un événement incontournable pour tous les acteurs de l’industrie digitale, start-up comme investisseurs, grands groupes comme entrepreneurs. L’intérêt de la participation de ces start-up françaises, sélectionnées par UbiFrance, est double : porter la voix de la « French Tech » sur le territoire américain, et permettre à ces jeunes pousses françaises d’élargir leur écosystème entrepreneurial à l’étranger. La présence de cette délégation française est donc une très belle initiative, qui doit impérativement se réitérer pour promouvoir le succès de nos entrepreneurs et leur offrir de précieuses opportunités.

Collectif Au Top La France
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Des initiatives en tout genre pour promouvoir la réussite française

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réussite française

Depuis quelques temps des initiatives se multiplient pour redonner confiance en eux, aux investisseurs malchanceux ou tout simplement pour promouvoir les réussites françaises et donner envie aux jeunes entrepreneurs de créer leur boîte malgré l’ambiance morose et le French bashing ambiant.

Ainsi la « Fuck Up Night » ou les « failcons » sont des réunions dans lesquelles des entrepreneurs présentent leurs échecs et expliquent comment cette erreur leur a permis de rectifier leur business model ou rebondir. Ces initiatives ont pour but de changer les mentalités et de faire en sorte que les français ne mettent plus huit ou neuf ans pour se relever d’un échec professionnel mais plutôt un an comme le fait un Norvégien. Les français, doivent prendre conscience du fait que leurs sociétés peuvent réussir et qu’un échec ou une déconfiture ne doit pas sonner le glas de leurs motivations entrepreneuriales.

Des collectifs plus ou moins organisés cherchent eux aussi à mettre en avant les réussites françaises et redonner le sourire à la croissance économique que ce soit en soutenant la création d’entreprise et d’emploi comme l’association d’entrepreneurs croissance plus. D’autres soutiennent la réussite française en mettant en valeur les savoir-faire, les réalisations et les innovations qui font de la France un pays à la pointe du progrès. Le site France.fr est une plateforme multilingue destinée au grand public international et souhaitant briser les stéréotypes. Enfin, une initiative venue des réseaux sociaux et de Twitter notamment semble porter le même projet : promouvoir les réussites françaises à l’étranger. Le collectif rassemblé sous le #AuTopLaFrance met en avant des réussites françaises et souhaite lutter activement contre le French bashing venu d’Angleterre.

Ainsi se développe un peu partout des portes drapeaux de l’entrepreneuriat français qui rebondit ou qui réussit, pour redonner confiance aux entrepreneurs français comme étranger et lutter contre un autodénigrement qui ne saurait aider le retour de la croissance.

Collectif Au Top La France
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Le fromage français remporte un vif succès à l’international

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Bel poursuit sa croissance à l’international et son succès aux Etats-Unis ne se dément pas. Le troisième groupe fromager au monde réalise 80 % de son chiffre d’affaires sur les marchés étrangers et a notamment réussi à bien s’implanter aux Etats-Unis, où les ventes du célèbre mini-Babybel ont bondi de 23 % en 2013. Selon le PDG du groupe, Antoine Fievet, « le pays est devenu notre second pays en chiffre d’affaires pour le groupe et le premier marché de la marque Babybel en volume ».

Derrière Lactalis et Kraft Foods, le troisième fromager mondial termine actuellement la construction de sa troisième usine aux Etats-Unis, au Dakota du Sud, qui sera opérationnelle en été. La somme investie pour cette opération s’élève à 100 millions d’euros. La nouvelle usine viendra épauler les unités que le groupe possède déjà au Kentucky et au Wisconsin. Très présent aux Etats-Unis avec les marques La Vache qui rit et Mini-Babybel, le groupe prétend pousser encore plus les ventes de ses produits.

Collectif Au Top La France
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Les acteurs français du nucléaire confirmés au Royaume-Uni

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Alors que certains observateurs n’avaient de cesse de répéter que la filière française  du nucléaire était en déclin, la nouvelle d’un accord historique signé entre EDF et le gouvernement britannique pour la construction de deux réacteurs EPR  témoigne de la reconnaissance de l’expertise française dans ce domaine de pointe.

Le lundi 21 octobre 2013, le groupe français en partenariat avec Areva et deux opérateurs chinois, China General Nuclear Corporation et China National Nuclear Corporation, ont signé avec le gouvernement britannique un accord historique de 19 milliards d’euros, mettant ainsi fin à 20 ans d’arrêt d’investissements dans le secteur. Cet accord intervient au moment où David Cameron présente son plan de transition énergétique visant la réduction de l’emission de gaz à effet de serre du Royaume-Uni. Le pays doit également faire face à la baisse de la production d’hydrocarbures en mer du nord, laissant présager une pénurie d’énergie au cours des dix prochaines années. N’étant responsable que de 18% de la production d’électricité britannique aujourd’hui, la part de l’énergie nucléaire devrait contribuer à plus de  40%  de la production totale d’ici à  2030. Tel qu’il est prévu, le projet devrait employer prêt de 25 000 personnes pour la construction du site, et 900 personnes pour faire fonctionner les réacteurs une fois la fabrication terminée.

Véritable confirmation de l’expertise française dans le secteur, cet accord permet à EDF de consolider sa présence outre-manche où le groupe possède sa plus importante filiale en termes d’activité. Ce choix ne relève en  rien du hasard : Alors que 4 centrales britanniques doivent fermer en 2019, le partenariat avec la France semble naturel : fort d’une expérience de plus de 50 ans, l’industrie française du nucléaire est aujourd’hui la seule sur terre à prendre en charge l’ensemble de la filière, de la fabrication des réacteurs jusqu’à l’exploitation de la centrale et le traitement des déchets. Conjointement à la fabrication des réacteurs, EDF devrait assurer la livraison d’électricité à des tarifs prévus à l’avance sur une période de 35 ans. Cette confiance réaffirmée de la part du gouvernement britannique vient confirmer les choix stratégiques de la France depuis les années 1990 concernant le développement de la technologie EPR (réacteur à eau pressurisée). D’après les promoteurs du projet, ces deux réacteurs devraient couvrir 7% de la production totale d’énergie au Royaume-Uni.

Pour Areva, responsable de la réalisation de 10% du projet, l’opération est de très bon augure. La signature du contrat vient confirmer la technologie EPR du groupe, premier dispositif a gagné le label de réacteur de troisième génération au Royaume-Uni. Cette réussite remarquable s’explique notamment par le fait que la France ait su imposer dans  ses standards à l’échelle internationale dans le domaine du nucléaire.

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La Pietra, une réussite française à l’export

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On parle souvent des grandes entreprises pour citer des exemples de réussites françaises sur le marché de l’export. Pourtant, de nombreuses PME se lancent dans l’aventure avec succès et font la fierté de leur région tout en contribuant à l’image de la France à l’étranger. La bière Pietra et un de ses nombreux exemples qu’on peut mettre en avant pour illustrer le dynamisme des entrepreneurs et de nos régions.

Crée en 1996, l’entreprise Pietra est issue d’un pari fou : faire la première bière 100% corse. Amoureux de leur île, Dominique et Armelle Sialelli se lancent alors dans cette aventure. Sur un marché déjà très concurrentiel, l’arrivée d’une toute nouvelle bière n’était pas gagnée d’avance. Se pose alors la question de savoir quel type de bière serait produit. Véritable élément fort de différenciation, une recette unique est mise au point, une bière, la première au monde, brassée avec un mélange de malts et de farine de châtaigne corse. Idée singulière et valorisant le patrimoine historique de toute une région, la Pietra était née.

Très rapidement, l’entreprise familiale réussie à percer sur le territoire local et de nouvelles bières sont mises au point tel que la Pietra Bionda, la Serena ou la Colomba. En parallèle de cette expansion, la brasserie entre dès 2004 dans le top 100 des plus belles entreprises françaises d’après le palmarès de la rentabilité et de la croissance établi par le magazine mensuel L’Entreprise. Divers reconnaissances viennent s’ajouter avec les années, renforçant toujours plus la marque.

Aujourd’hui, avec une équipe composée d’une trentaine de personnes, le dynamisme et l’inventivité de la brasserie lui permettent de viser au-delà du territoire local et national. Avec un chiffre d’affaires de 14,2 millions d’euros pour un résultat net de 2 millions d’euros en 2012, la brasserie réalisait déjà à cette date 6% de ses ventes à l’export. Il est possible pour les amateurs de déguster des bières Pietra dans les rues de Rome ou de Genève, mais aussi dans d’autres pays plus lointain comme le Japon, ou encore le Brésil et les États-Unis.

L’exemple de la Pietra témoigne de la capacité des entreprises locales et des PME à créer de la valeur aussi bien au niveau local et national qu’international. Ce sont toutes ces petites histoires qui, mises bout à bout contribuent au succès et au dynamisme de notre pays.

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La SNCF, Made in « Patriotisme économique »

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La nouvelle est tombée il y a quelques jours : Armor Lux, entreprise française, aura pour mission de « relooker » la totalité du personnel de la SNCF. Ainsi, ce sont plus de 800 000 pièces qui seront produites, pour près de 30 000 agents SNCF. Elles seront livrées dès septembre 2014.

Ainsi, la fameuse marinière bleu marine avec un liseré rouge, succèdera aux précédents uniformes dessinés par Christian Lacroix. En outre, Armor Lux a annoncé que plus de 80 % de la fabrication serait réalisée dans la zone Euro méditerranée dont un tiers en France, déclaration qui n’a pas semble-t-il, laissé le président de la SNCF indifférent selon les dires de Jean-Guy Le Floch, le PDG d’Armor Lux : «La SNCF a été très sensible au fait qu’une partie importante soit maintenue en France ».

Moins d’un an auparavant, la SNCF avait vivement été critiquée lorsqu’elle avait préféré un équipementier américain, VeriFone Systems, pour s’équiper de terminaux de paiements.

Jackpot pour l’entreprise bretonne qui, par ce contrat, touchera 15 millions d’euros pour cette seule année. Mise en lumière par l’actuel Ministre de l’Economie et du Redressement productif dans la fameuse une du Parisien, Arnaud Montebourg, cette société est aujourd’hui mondialement réputée. Rappelons que ce dernier s’était mis en scène en marinière de cette même marque. Armor Lux illustre donc bien la mode « à la française ».

Spécialisée dans le textile, Armor lux emploie aujourd’hui plusieurs centaines de salariés et réalise un chiffre d’affaires proche de 100 millions d’euros. Bretonne d’origine, elle a fait le choix de rester dans cette région.

Notons qu’Armor Lux équipait déjà La Poste  bien qu’elle ait perdu l’appel d’offre de la Police Nationale l’an dernier et ce, malgré l’intervention du ministre.

Ce type de collaboration ne doit pas être isolé. Il montre que l’attachement patriote  d’un acteur public, l’état et privé, les entreprises n’est pas nécessairement incompatible avec la compétitivité. Dès lors, c’est précisément au politique de participer au maintien du tissu industriel français en France.

Aux politiques français, Sauvons nos entreprises, finissons-en avec le pessimisme, renouons avec la croissance !

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Objets connectés : les start-up françaises au service de l’amélioration du quotidien de demain

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Les objets connectés seront d’ici quelques années devenus monnaie courante et chacun en utilisera certainement plusieurs au cours de sa journée. Il est alors aisé d’imaginer au vue des technologies développées aujourd’hui par nos start-ups françaises, la vie d’un homme connecté d’ici une décennie.

Le succès de Withings qui se manifeste actuellement aux Etats-Unis sur les plateformes de vente Apple et Amazon réside dans sa capacité à assurer à l’utilisateur un suivi complet de sa santé en temps réel. L’utilisateur connaitra ainsi immédiatement grâce au bracelet de la marque la qualité de son sommeil, son poids, son taux de cholestérol et même le nombre de cafés consommés ! Mais le progrès va bien au-delà puisque ces informations iront directement chez son assureur puisque la marque française, forte de ses succès a racheté Jawbone, sa concurrente américaine qui est en partenariat avec nombre d’assureurs et mutuelles de la santé.

Et en abordant cette vie quotidienne de l’homme de demain, pourquoi ne pas parler du sexe, toujours en pointe lorsqu’il s’agit d’innovation. La société française Smartlove a développé des objets sexuels connectés via wifi, pour remédier au problème de la distance. Ce domaine a été à l’origine de beaucoup d’innovations et Xavier Niel ne pourra pas dire le contraire.

Et pourquoi ne pas envisager de se détendre ensuite grâce au « projet Gutenberg » de Pernot-Ricard qui aura certainement connu le succès escompté en créant sa bibliothèque de spiritueux connectée.

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Start-ups françaises : Priorité au marché international

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La croissance des start-ups devient de plus en plus rapide. Ces dernières ont à peine le temps d’émerger qu’elles se retrouvent déjà propulsées sur le marché mondial. Pour réussir, les start-ups n’ont d’autres choix que de se lancer directement à l’international. La Mairie de Paris et Cap Digital organisent ce jeudi 10 avril une journée Portes Ouvertes destinées aux start-ups parisiennes dans le domaine du numérique. Une centaine de start-ups seront disponibles à rencontrer les jeunes entrepreneurs. On compte parmi ces start-ups des crowdfundings et des incubateurs. Ces derniers facilitent la communication entre les start-ups afin d’accélérer l’accès à leurs marchés cibles et aux capitaux. A ce jour, le succès d’une start-up repose sur sa capacité à lever des fonds demandant une certaine culture du risque.

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Chronique de réussites françaises : l’exemple de Fermob

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Fermob

L’Oréal, Peugeot, Total, Thalès ; autant de multinationales françaises mais qui cachent trop souvent les réussites de PME/TPE, petites par leurs structures, innovantes par leurs procédés. Illustration avec Fermob, leader du mobilier de jardin en extérieur.

Née en 1953 dans l’Ain, cette exploitation, artisanale à l’origine, fournit aujourd’hui des centaines de milliers de chaises à travers le monde.

Symbolisée par sa célèbre chaise verte faite d’aluminium dit « siège du Luxembourg », et qui agrémente le jardin du même nom à Paris, Fermob c’est aujourd’hui plus de 30 millions d’euros de chiffre d’affaires dont plus de 40 % sont réalisés à l’étranger.

Le jardin Majorelle de Marrakech, zoo d’Amsterdam, les parcs Times Square, Bryant Park ou encore Madison Square ne sont que quelques exemples d’une longue liste de clients prestigieux.
Toujours à la pointe de l’innovation, cette entreprise a su se diversifier pour mieux répondre aux lois du marché. Elle a su s’entourer des meilleurs designers et stylistes connus tels que Jean-Charles de Castelbajac, Andrée Putman ou encore Pascal Mourgue.

Cette très riche collaboration lui permet aujourd’hui d’offrir plus d’une centaines de références et une trentaine de coloris différents dans un catalogue sans cesse renouvelé.
Nos voisins belges sont les derniers séduits puisque les ventes ont explosé ces cinq dernières années.
En quête perpétuelle de nouveaux défis, gageons que Fermob ne s’arrêtera pas en si bon chemin.

Digne représentante du savoir-faire français et de sa capacité à réussir, elle n’est qu’une entreprise parmi tant d’autres à porter haut les couleurs de la France. A ce titre, nos politiques, encore trop frileux à l’idée de patriotisme, se doivent de faire prendre conscience au pays de la richesse et de la compétitivité de notre tissu industriel, aussi diversifié qu’il soit. En outre, cette prise de conscience est le préalable nécessaire au retour de la confiance effritée par la crise et à l’idée de relance économique du pays.
Aux politiques français, Sauvons nos entreprises, finissons-en avec le pessimisme, renouons avec la croissance !

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Le soft power français, un appui utile à nos entreprises

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Gastronomie, francophonie, patrie des droits de l’Homme, « french touch »… le patrimoine culturel français n’est plus à démontrer. Il participe véritablement à notre rayonnement de par le monde, plus communément appelé « Soft Power », c’est-à-dire la capacité d’un pays à influer sur un autre par l’utilisation de moyens non coercitifs.

La gastronomie française a par exemple été inscrite au patrimoine commun de l’humanité par l’UNESCO en 2011, alors qu’aucune gastronomie étrangère n’ait été primée jusqu’alors.

Pourtant, si la richesse de notre culture héritée de notre Histoire est indéniable, d’après une récente étude de BETC, agence spécialisée dans la stratégie de marque et la publicité, trop peu d’entreprises françaises s’appuient sur ces valeurs pour mieux s’exporter. Seul le milieu de la mode et du luxe, chapeauté par de grands groupes et dotés de stratégies marketing redoutables tel LVMH, semble avoir réalisé les potentialités de ce pouvoir de séduction.
BETC déplore d’autant plus cet état de fait que nombre d’entreprises étrangères parmi lesquelles des sociétés anglo-saxonnes, n’hésitent pas à mettre en avant le « nation branding » ainsi que les valeurs qui en découlent.

Face à cette trop faible prise de conscience de nos entreprises, c’est alors au politique d’intervenir. L’enjeu est simple : permettre aux TPE/PME et aux grandes multinationales de s’internationaliser davantage au moyen de la culture de son Etat d’origine.
Si le politique œuvre déjà pour une meilleure implantation de nos entreprises à l’étranger par le biais d’Institutions de type financier telles que la Banque Publique d’Investissement (BPI) ou encore UbiFrance, force est de constater qu’il néglige encore, à ce jour, l’impact que possède l’image d’un Etat face à un autre et la potentielle utilisation qui peut en être faite par des acteurs privés telles que les sociétés.

Il leur incombe donc la responsabilité de se placer dans une posture stratégique en assurant une meilleure coordination entre nos entreprises et l’héritage, source de fierté personnelle, mais surtout gage certain d’une meilleure conquête des marchés étrangers.
Aux politiques français, Sauvons nos entreprises, finissons-en avec le pessimisme, renouons avec la croissance !

Collectif Au Top La France
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